Déontologie 

  • Le praticien en Pratiques Corporelles de Bien-Être s'engage à respecter les règles de confidentialité, l'intégrité, les valeurs et croyances, ainsi que la liberté de la personne reçue.
  • Le praticien doit tenir compte des limites de ses aptitudes, de ses connaissances ainsi que des moyens dont il dispose. Il ne doit pas entreprendre des prestations pour lesquelles il n'est pas suffisamment préparé ou formé.
  • Si le praticien évalue que son client en a besoin, il doit le diriger vers un thérapeute adéquat.
  • Le praticien doit respecter le droit à l'intimité et à la pudeur du client, tant lors de sa pratique que lors du déshabillage et habillage. Il doit s'ajuster aux besoins pudiques du client et respecter son droit de garder les vêtements que celui- ci désire lors de la prestation.
  • Le praticien doit s'abstenir de poser des diagnostics d'ordre médical et/ou critiquer les avis et conseils des professionnels de la santé.
  • Le praticien s'engage à présenter uniquement les titres et les compétences réelles qu'il possède.
  • Le praticien n'a pas à refuser de fournir ses prestations à une personne pour des raisons de race, de couleur, de sexe, d'orientation sexuelle, d'état civil, d'âge, de religion.
  • Le praticien s'abstient de toutes pratiques ou relations sexuelles avec l'usager.
  • Le praticien ne doit pas être impudique et il doit se présenter convenablement vêtu dans l'exercice de son travail et ce, peu importe le lieu où il pratique.
  • Le praticien s'engage à ne pas solliciter, promouvoir ou utiliser des substances ou des drogues de quelque nature que ce soit, à n'importe quel moment, comme complément à sa pratique.
  • Le praticien s'engage à ne pas créer un climat de dépendance affective, à ne pas emmener son client sur le chemin de ses éventuelles appartenances.
  • Pour les séances avec un mineur, la présence d'un parent est indispensable.

Attention 


Ces soins ne sont pas des traitements médicaux et ne remplacent pas une visite chez le kinésithérapeute ou le médecin.


Le terme « massage » n'est utilisé que pour traduire des termes étrangers en français. Conformément à la loi du 30 avril 1946 et au décret n°60665 du 4 juillet 1960, des articles L489 du 8 octobre 1996.


Ces massages ont pour but d'apporter bien-être et relaxation, ils ne sont ni thérapeutiques, ni médicaux, ni érotiques, ni sexuels.